• Sommaire de la page :

    1) Introduction.

    2) Les nopes.


    1) Introduction :

    > Les nopes, les épis, les bouquets sont parmi les plus employés.

    Ces points sont réalisés par différentes sortes d'augmentations (notamment la technique de plusieurs augmentations dans 1 seule maille) et de diminutions, et sont parfois associés à des torsades et à des mailles croisées (motifs irlandais).

    Ils peuvent avoir des grosseurs différentes et être disposés en rayures, en panneaux, ou sur toute la surface de l'ouvrage.

    Un vêtement fait de points différents sera plus épais et donc plus lourd qu'un tricot exécuté dans des points simples, il faut prévoir plus de laine aussi.


    2) Les nopes ou mouches :

    > Une nope peut être faite en jersey endroit ou en jersey envers. Elle est formée par des augmentations faites dans une seule maille : plus il y a d'augmentations, plus la nope est grosse et épaisse.

    On travaille donc à partir d'une maille, sur laquelle on fait des augmentations ; puis on tricote celles-ci comme sur un nouveau rang (travail en aller et retour) ; on termine par des diminutions pour revenir à la maille initiale.

    Pour augmenter, 2 possibilités :

    - utiliser des jetés ;

    - tricoter dans le brin avant, puis dans le brin arrière d'une maille (comme une maille doublée).

    Voir Art."Augmentations.

    Les mailles de chaque côté de la nope doivent être tricotées serrées.

    > Méthode :

    Rang1 d'une nope moyenne : tricoter jusqu'à la maille désirée.

    Faire 3 augmentations dans la maille : créer le rang2 de la nope :

    - avec la technique des jetés :

    nope1


    *Faire 1jeté, piquer l'aiguille droite dans la maille et la tricoter

    sans la laisser tomber* ; répéter de * à *, 1 fois.




    - avec des augmentations dans les brins avant et arrière :

    *Tricoter dans le brin avant de la maille sans la laisser tomber, tricoter dans le brin arrière de cette même maille sans la laisser tomber* ; répéter de * à *, 1 fois.

    Le rang2 est alors composé de 4 mailles qui se trouve sur l'aiguille droite.

    nope2


    Tourner le travail et tricoter Rang2 : 4m. end.

    Tourner le travail : Rang3 : 4m. env.

    Tourner le travail : Rang4 : 4m. end.


    Tourner le travail : on obtient donc 3 rangs de jersey envers.

    Faire 3 diminutions :

    Rang5 : glisser 2m., 2m. ens. end., passer les 2m. gliss. sur la maille tricotée.

    nope3



    On obtient 1maille sur l'aiguille droite : la nope est terminée.



    Terminer le rang initial selon le point demandé.




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  • Sommaire de la page :

    1) Lire un point pour comprendre sa réalisation

    2) Histoire de multiples

    3) Lire les instructions sous forme de grille appelée diagramme


     

    1) Lire un point pour comprendre sa réalisation :

    > L'écriture-tricot nécessite, comme toute écriture, des mots et de la ponctuation. C'est une écriture qui se veut efficace, c'est pourquoi elle emploie beaucoup d'abréviations (voir Art."Tricot abrégé) ; la ponctuation n'est pas là pour donner un style, mais pour lier ou séparer les abréviations.

    Abréviation = action / ponctuation = rythme.

    > Les instructions indiquent comment réaliser un motif unique rang après rang. Par exemple :

     Rang1 : *5m. end., 2m. env., 2m. end., 5m. env.*, répéter de * à *.

    Rang2 : *2m. end., 5m. env., 5m. end., 2m. env.*, répéter de * à *.

    Répéter ces 2 rangs.


    > ConventionsIl est essentiel :

    - de tenir compte des virgules et des astérisques :

    Les explications entre virgules constituent une seule étape ; après l'avoir exécutée on passe à la prochaine étape qui est après la virgule. 

    Les astérisques * * signalent que les actions données à l'intérieur de ceux-ci (= 1 séquence) doivent être répétées et correspondent au motif du point.

    - de comprendre ce principe de répétitions :

    Les points restent simples et répétitifs ; d'autres, plus structurés, sont expliqués rang par rang. En effet, ils sont réalisés selon un principe de répétitions :

    Répétitions des mailles : sur un rang, une certaine séquence de mailles se répète.

    Le texte indique : Répéter de * à *, généralement suivi d'un nombre de fois ; il faut recommencer à suivre les indications qui se trouvent entre les astérisques, et ce, le nombre de fois demandé ensuite.

    et répétitions des rangs : sur le rang suivant, on tricote une autre séquence de mailles ; enfin la séquence de rangs obtenue est répétée un certain nombre de fois...

    Le texte indique : Répéter toujours ces x rangs.

     

    2) Histoire de multiples :

    > Il faut pour réaliser un point (ou motif précis) un certain nombre de mailles (= séquence) pour que celui-ci soit visible : par ex, un point requiert un nombre multiple de 10, + 1m. : on doit alors monter 11m (10+1) ou 21 (10+10+1), etc...

    Ce type de modèle se répète toutes les 10 mailles et 1 maille supplémentaire, cette dernière est nécessaire pour le rendre symétrique. 


    3) Lire les instructions sous forme de grille appelée diagramme : c'est la représentation graphique des mailles à tricoter d'après une légende donnée.

    > Au lieu d'être expliqués rang par rang, les motifs d'un tricot sont donc présentés sous forme de grille : chaque carré de l'horizontale de la grille représente 1 maille et chaque carré de la verticale correspond à 1 rang de tricot.

    Chaque case contient un symbole précisant la manière dont la maille doit être tricotée. La légende est là pour donner la signification des symboles.

    > En règle générale, la grille commence en bas à droite : la première case en bas à droite est la première maille du motif.

    Le premier rang à tricoter est la première ligne du bas de la grille qui se lit de droite à gauche : c'est  un rang endroit (= 1 rang impair). Le second rang (= rang envers /rang pair) est situé immédiatement au-dessus et se lit de gauche à droite.

    Diagramme


    Il suffit de remonter la grille au fur et à mesure que les rangs sont terminés.

    > La grille ne donne qu'une seule reprise du point qui doit être répétée sur toute la largeur du tricot.

    Cette partie peut figurer entre des lignes verticales en gras avec une indication pour la reprendre sur toute la longueur d'un rang.





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    Sommaire de la page :

    1) Positionner les boutons

    2) La boutonnière ronde

    3) La boutonnière horizontale de 2 mailles

    4) La boutonnière horizontale sur 2 rangs

    5) La boutonnière horizontale sur 1 rang

    6) La boutonnière verticale

    7) La petite boutonnière

    8) La bride

    9) Le point de boutonnière

    10) Les boutons tricotés

     

    1) Positionner les boutons :

    Sur les modèles pour femmes, les boutons sont généralement placés sur le demi-devant gauche. Inversement, ils se présentent du côté droit sur les modèles pour hommes.

     > Tricoter d'abord la bordure sur laquelle seront cousus les boutons, et seulement ensuite la bordure comportant les boutonnières : il sera plus facile de situer avec exactitude leur emplacement, à l'aide d'épingles à nourrice ou de marqueur.

    Emplacement boutons

     

    > Commencer par positionner le premier et le dernier bouton, en

    haut et en bas : le bouton du haut se situe entre 1,5 et 2,5 cm de la

    bordure supérieure ; idem pour le bouton du bas, sauf pour un long

    gilet.

     

    > Puis, compter les rangs qui les séparent afin de placer les autres

    boutons à intervalle régulier.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    > Coudre les boutons :

    Utiliser le même fil de laine que celui employé pour le tricot et des boutons montés sur pied (en métal ou en plastique), dans lequel on coud.

    Ne pas hésiter à piquer l'aiguille à coudre à travers les fils du tricot.

    Pour les boutons simples (sans pied), il faut laisser un espace entre le bouton et le tricot, cet espace correspond à l'épaisseur de la bande de boutonnières réalisée par la suite. Pour cela, utiliser un cure-dent ou une aiguille à 2 pointes fine :

    Bouton

     

    > Tricoter ensuite la bordure comportant les boutonnières :

     

    2) La boutonnière ronde :

    Boutonnière ronde

     

    > La boutonnière ronde est un jeté, accompagné d'une diminution.

    Sur le rang de la boutonnière, tricoter jusqu'à l'emplacement de

    celle-ci, faire un jeté, puis 2m. end. ens. ; finir le rang.

    Elle convient pour les petits boutons et les vêtements pour

    enfants.

     

     

    3) La boutonnière horizontale de 2 mailles :

    bouthoriz2met1

     

    > Tricoter 1 surjet simple puis faire 2 jetés (enrouler le fil 2 fois

    autour de l'aiguille) et tricoter 2m. end. ens.

     

     

     

    Bouthoriz2met2

     

    Au rang suivant, tricoter les jetés un par un, sans les tordre.

     

     

     

     

     bouthoriz2met3

    Une boutonnière de 2 mailles s'est formée sous les jetés.

     

     

    4) La boutonnière horizontale sur 2 rangs :

    > Prévoir une maille de plus qu'il ne faudrait pour la largeur du bouton.Boutonnière1

     

    > Tricoter jusqu'à l'emplacement de la boutonnière.

    Rabattre à l'anglaise le nombre de maille nécessaire qui est égal à

    la largeur du bouton. (Voir Art."Rabattre autrement.)

    Finir le rang.

     

     

     

    Sur le rang suivant, tricoter jusqu'à l'avant-dernière maille avant la boutonnière.

    Tricoter une maille doublée dans la maille suivante (= la dernière avant les mailles rabattues) : c'est-à-dire tricoter une fois dans le brin arrière puis une fois dans le brin avant de cette maille .

    des boutonnières 2rgs Remonter le nombre de mailles que l'on a rabattues sur le rang précédent, moins 1 :

    en utilisant soit une technique de montage de l'Art."Monter autrement.

    Ou en utilisant des augmentations sur le pouce (voir

    Art."Augmentations).

     

     

     

    Boutonnière3

    Finir le rang.

     

     

     

    5) La boutonnière horizontale sur 1 rang :  

    Boutonniere horiz> Arrêter le nombre de mailles nécessaire à la confection de la

    boutonnière en utilisant un crochet.

    Glisser la dernière maille du crochet sur l'aiguille gauche.

     

     

    Boutonniere horiz2

    Puis, en utilisant le fil de la pelote, monter sur l'aiguille droite le

    même nombre de mailles que celles que l'on a arrêtées.

     

    Continuer à tricoter normalement les mailles suivantes. 

     

    6) La boutonnière verticale : 

    > Prévoir un rang de plus qu'il ne faudrait pour la largeur du bouton. 

    > À l'emplacement de la boutonnière, diviser la bordure en 2 parties égales.

    Boutonniere verticale1

     

    Tricoter la première partie sur le nombre de rangs correspondant

    à la hauteur de la boutonnière, puis laisser les mailles en attente.

     

     

     

    Boutonniere verticale2

    Tricoter le même nombre de rang sur la deuxième partie de la

    bordure.

    Arrivé à la même hauteur, travailler à nouveau sur toute la largeur

    de la bordure.

     

    > Cette boutonnière est utilisée pour les rabat de poche.

     

    7) La petite boutonnière :

    >Cette boutonnière se réalise en écartant les mailles :

    La petite boutonnière

    1. Avec une aiguille à coudre, prendre le fil reliant 2 mailles, le tirer verticalement (pour agrandir la maille) puis horizontalement (pour élargir la maille).

    2. Maintenir par quelques points d'arrêt. Faire le même travail en vis-à-vis.

     

    8) La bride boutonnière :

    > La bride sert pour les grosses vestes, elle est brodée au bord du tricot et doit être placée exactement face au bouton.

     > Marquer les 2 points extrêmes de la bride sur l'envers (espace de 4 ou 5 mailles).

    Bride

     

    Avec une aiguille à laine, fixer le fil aux 2 extrémités en laissant

    assez de fil pour la taille du bouton ; repasser le fil entre les 2

    points pour obtenir l'épaisseur désirée.

     

     

    Broder au point de feston sur la bride : travailler serré de gauche à droite sur ces 2 fils comme indiqué :

    Bride2Bride3

    Fixer l'extrémité des fils en les dissimulant dans les mailles sur l'envers du travail.

     

    9) Le point de boutonnière : finition de boutonnière.

    Point de boutonniere

     

    > Pour une belle finition, on peut rebroder les boutonnières au point

    de feston.

     

     

     

     

     

     

    10) Les boutons tricotés :

    bouton tricoté 1

     

    > Monter 14 mailles. Tricoter 5 rangs de jersey et couper le fil en laissant ≈ 25cm. Passer ce fil à travers les mailles de l'aiguille.

    Détricoter le rang de montage et passer le fil dans les boucles.

     

     

    bouton tricoté 2

     

    Tirer sur les 2 extrémités et faire un nœud, bourrer le bouton de laine et fermer le.

     

     

     

     

     


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  • Sommaire de la page :

    1) Relever les mailles ...

    2) sur un rang de montage ou un rang de mailles rabattues

    3) sur une lisière verticale 

    4) autour d'une encolure 


    1) Relever les mailles :

    > Certaines lisières, celles qui ne disparaissent pas dans une couture, peuvent nécessité une finition ou bordure, constituée généralement d'une bande d'encolure, d'un col, ou de bandes de boutonnage (avec boutonnières).

    Bordures, cols, manches... peuvent donc être ajoutés à la pièce principale (dos, devant) en "relevant des mailles", c'est-à-dire créer, à partir des mailles lisières existantes, des nouvelles mailles sur une aiguille, pour ensuite tricoter la partie à ajouter.

    Cette technique est pratique pour éviter d'avoir à monter une nouvelle pièce à joindre par une couture. Grâce à elle, le rang de mailles est plus élastique et moins volumineux qu'une couture.

    Repasser les différentes pièces, avant toutes opérations.

    > Pour relever un grand nombre de mailles, utiliser une aiguille circulaire.

    > LES MAILLES DOIVENT TOUJOURS ÊTRE RELEVÉES À L'ENDROIT, AVEC L'ENDROIT DE L'OUVRAGE FACE À SOI.

    > Tous les modèles précisent le nombre de mailles à relever sur une encolure, mais il n'explique pas toujours comment les répartir. Le modèle sert de guide, ne pas hésiter à s'en éloigner si on constate que la bordure commence à bâiller ou que l'encolure se resserre trop.

    > 3 situations, 3 possibilités : relever les mailles ...


    2) sur un rang de montage ou un rang de mailles rabattues (lisière horizontale) :

    Relever mailles 1

    > Glisser l'aiguille, d'avant vers l'arrière, sous les 2 brins de la

    première maille ;

    Enrouler le fil autour de la pointe de l'aiguille ;

    Ramener ce fil sous les brins de façon à former une boucle (=

    nouvelle maille) ;


    Procéder de la même façon avec les autres mailles du rang.

    > Cette méthode s'utilise au niveau de l'encolure dans le dos d'un pull ou au niveau des mailles centrales à la base d'une encolure arrondie sur le devant.

     

    3) sur une lisière verticale :

    Relever mailles 2> Avec l'endroit de l'ouvrage face à soi, travailler de droite à gauche le long de la bordure.

    De l'avant vers l'arrière, glisser l'aiguille entre les 2 fils de rang des 2 premières mailles, de façon à soulever un peu la m. lis. ;

    Enrouler le fil autour de l'aiguille ;

    Ramener ce fil (comme on le fait pour tricoter à l'endroit) sous la m. lis. de manière à former une boucle (= nouvelle maille) ;

    Procéder pareillement avec chaque m. lis. du bord de l'ouvrage.

    > Sur une surface donnée en jersey, on compte davantage de rangs (verticalement) que de mailles (horizontalement). Lorsque l'on relève les mailles le long d'une bordure verticale, on crée un nombre de mailles égal au nombre de rangs : pour compenser cette différence, on doit de temps en temps sauter un espace entre 2 fils de rang.

    > Si la lisière est épaisse (fil épais), travailler à travers le milieu de la m. lis.

    > Cette méthode s'utilise sur les devants d'un gilet.


    4) autour d'une encolure (ou autre bord incurvé) :

    > La plupart des bordures incurvées sont constituées de plusieurs séries de diminutions qui forment un arrondi très irrégulier, en escalier.

     > Ne pas piquer dans les mailles de la bordure elle-même. 

    Relever mailles colUtiliser la même technique pour les bords droits de l'encolure.

    Sur la partie qui forme le décolleté, piquer l'aiguille dans les mailles un rang au-dessous des diminutions pour éviter de créer des trous.

    Tirer une boucle pour faire une nouvelle maille sur l'aiguille.
     


     


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  • Sommaire de la page :

     1) Mise en forme

    2) La pulvérisation d'eau

    3) La vapeur chaude


    Il est temps de transformer les morceaux tricotés en vêtements à porter. Tout se joue maintenant :

    > il faut préparer les bouts de tricots : les mettre en forme selon les dimensions souhaitées, fixer les mailles et les couleurs avec de l'humidité ;

    > puis il faut assembler ces différentes pièces entre elles grâce à diverses techniques de couture. 

     

    1) Préparation :

    > Une fois toutes les pièces du vêtement tricotées (et les fils rentrés !), on les met "en forme" avant de les assembler. Cela uniforme la tension, détend les mailles et fixe leur taille et leur forme. Cela est indispensable pour avoir des bords bien plats. Il s'agit d'une étape décisive pour l'aspect final du vêtement.

    > Le tricot doit être épinglé à plat sur une planche à repasser pour les pièces de petites dimensions ou sur une table couverte d'une serviette de bain (ou autre) pour les tissus plus grands. Pour cela,

    Epingler

    1) étaler le tricot : soit l'envers vers le haut s'il s'agit de point

    jersey ;

    soit l'endroit vers le haut  pour les points en relief et les torsades.

    2) épingler le tricot : reprendre les mesures indiquées par le

    patron du modèle ; mettre des épingles à chaque coin (sauf au

    niveau des côtes), en vérifiant et en ajustant le tissu pour

    respecter les bonnes dimensions, à l'aide du mètre-ruban.

    Puis épingler, tous les 5 ou 8 cm, les lisières du tricot, en vérifiant

    que les rangs sont bien droits (pas de déformation).




    2) La pulvérisation d'eau est la méthode utilisée pour mettre en forme des fils à long poil (mohair...), des fils synthétiques, ou encore des tricots avec des torsades, des points en relief .

    spray

    Pour cela, se servir d'un flacon pulvérisateur pour humecter l'ouvrage à fond ; avec la main, faire pénétrer délicatement l'humidité dans les fibres.

    Laisser le tricot sécher, bien à plat.

     

    3) La vapeur chaude d'un fer à repasser et d'une pattemouille humide ou d'un linge sec est utilisée pour des fils de fibres naturelles, des fils mélangés, ou des tricots en jersey.

    Ne jamais poser directement le fer sur le tricot.

    Une pattemouille est un linge en coton qui a été complètement mouillé puis essoré. on la positionne sur le tricot, bien à plat.

    Fer

    Le fer lui est placé à quelques cm au-dessus. Sans toucher, appliquer la vapeur quelques secondes sur toute la surface du tissu. Enlever la pattemouille et laisser sécher complètement.



    Les étiquettes des pelotes de laine indiquent la méthode à utiliser en cas de doute :

    - le mohair et autres fils vaporeux risquent d'être aplatis par la vapeur ; il vaut mieux les mouiller. Au cours du séchage, on peut les brosser délicatement.

    - la laine, le coton et les fils mélangés se repassent très bien à la vapeur.

    - les fils synthétiques se décomposent sous l'excès de vapeur chaude, ils perdent de leur élasticité.

     

     


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